Je n’ai pas l’habitude de faire des retours critiques ici, essentiellement parce que je n’ai pas forcément grand chose à dire qui n’ait pas été dit ailleurs. Mais il se trouve que pour Lost Judgment, je vais faire exception, parce qu’à part dans l’article de Kazuma Hashimoto (en anglais) ce n’est pas vraiment le genre de choses évoquées dans les critiques.

Précisons que Lost Judgment est un jeu vidéo, développé par le studio Ryu Ga Gotoku et publié par Sega, et qui se situe dans le même univers que la série de jeux Yakuza. Ce que je vais dire ici n’est pas du tout une critique de jeu puisque je vais me concentrer uniquement sur le scénario de l’intrigue principale, et plus spécifiquement le traitement de sa thématique du harcèlement, parce que c’est ce qui m’intéresse et que c’est ce sur quoi j’ai des choses à dire. Il n’en reste pas moins que ce n’est finalement qu’un petit aspect du jeu, d’autant plus que celui-ci est extrêment généreux en matière de contenu.
(Edit : et par ailleurs je me concentre sur les choses qui posent problème, ce qui pourrait donner l’impression que je n’ai pas apprécié le jeu, alors que c’est clairement un de mes jeux préférés de l’année, mais comme on dit, qui aime bien châtie bien, ou en tout cas a un peu plus envie d’analyser ce qui ne va pas.)
Évidemment, pour parler de l’histoire, je vais devoir… en parler, ce qui implique donc un AVERTISSEMENT DIVULGÂCHAGE. Là encore, je vais me concentrer sur l’histoire et je vais éviter de parler d’autres choses, parce que je fais partie des gens bizarres qui se fichent qu’on leur raconte l’histoire du jeu mais aiment découvrir un mini-jeu ou un aspect du gameplay sans trop en savoir avant.
Ceci étant posé, IKUZÔ!